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Juan Antonio Marin
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Juan Antonio Marin
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Eliminée par Zhang, Osaka n’est pas encore satisfaite de son niveau de jeu : “C’est difficile d’être dans ce processus” Après plus d’un an d’absence, Naomi Osaka a fait son retour à la compétition cette année. Devenue mère en juillet 2023, l’ex numéro 1 mondiale continue sa montée en puissance. Enchaînant trois jolies victoires, Osaka a finalement calé face à Qinwen Zhang (6-4, 6-4). Interrogée sur sa belle semaine italienne, la quadruple vainqueure de Grand Chelem, peu à l’aise sur terre battue a cherché à positiver :  ”C’est une bonne semaine, mais c’est difficile d’être dans ce processus. J’ai hâte de revenir à mon meilleur niveau, mais je dois comprendre que ma fille n’a pas encore un an et que cela peut prendre du temps. J’apprendrai beaucoup de ce match contre une joueuse du top 10 comme Qinwen.” Prochaine étape pour Osaka : Roland-Garros.
Rétrospective #1 : Le jour où Federer remportait le seul tournoi sur terre battue bleue de l’histoire. C’était il y a tout juste 12 ans. Le 13 Mai 2012, Roger Federer avait remporté l’un des tournois les plus controversés de l’histoire du tennis. Depuis qu’il est passé sur ocre, en 2009, le Masters 1000 de Madrid occupe une place toute particulière dans le calendrier ATP. Désormais organisé à un mois du début de Roland-Garros, le tournoi est coché par la plupart des cadors du circuit. Cela dit, l'événement espagnol est également connu pour son originalité. Ion Tiriac, directeur du tournoi, a pris l’habitude d’innover afin d’attirer toujours plus. Après avoir fait construire le désormais mythique complexe de la Caja Magica, l’investisseur a fait des choix plus décriés. On notera bien sûr l’édition 2004 du tournoi où des mannequins avaient été embauchés pour ramasser les balles lors des matchs de soirée. Sans trop rentrer dans le détail, on peut simplement mentionner la réaction pour le moins surprenante d’André Agassi lorsqu’il avait été questionné sur ce choix : “ll était difficile, pour ne pas dire plus, de se concentrer sur la balle. Mais je suppose que j’avais un avantage. J’ai l’habitude de jouer avec ma femme (Steffi Graf). Mais les jupes ont l’air d’être un peu difficiles à porter pour courir. Je pense qu’elles devraient être plus courtes (sourire).” L’édition où le tournoi a réellement défié la chronique a eu lieu en 2012. Cette année-là, Madrid avait choqué le monde du tennis en modifiant la couleur de la surface de jeu. Abandonnant son oranger si caractéristique, la terre battue madrilène avait opté pour un bleu électrique. Justifiant ce choix plus que surprenant, Tiriac avait expliqué que ce changement avait pour objectif de permettre aux spectateurs et téléspectateurs de mieux voir la balle. Avant même le début du tournoi, cette innovation avait divisé les joueurs du circuit. En effet, n’ayant pas été consulté par l’ATP, la pilule avait du mal à passer pour certains. Si des joueurs comme Murray ou Tsonga, ont préféré attendre pour parler, d’autres avaient clairement fait savoir leur mécontentement. Le plus célèbre d’entre tous étant bien sûr le roi de la terre battue, Rafael Nadal. Avant le début du tournoi, il déclarait : “J’aime les changements quand ils apportent des progrès. Ce qui fait un grand tournoi, c’est l’histoire du tennis. Donc à mon avis, c’est une erreur. Les joueurs ne comptent pas, ils n’ont rien à y gagner. Une seule personne y gagne quelque chose : le propriétaire du tournoi.” Une fois le tournoi commencé, un problème, de taille, avait éclaté aux yeux de tous : l’ocre bleu était affreusement glissante. Malgré les critiques d’un bon nombre de joueurs, le tournoi, plus médiatisé que jamais, avait réussi son pari : attirer un très grand nombre de supporters. Cependant, les résultats de la semaine, très surprenants, ont vite jeté un froid sur l'enthousiasme de début de tournoi. En effet, Madrid perdait dès les huitièmes de finale son enfant chéri puisque Rafael Nadal (battu par Verdasco, 6-3, 3-6, 7-5). Le lendemain, Novak Djokovic, tenant du titre, se faisait éliminer par Janko Tipsarevic (7-6, 6-3). Très remontés contre l’organisation, les deux stars du tennis ne mâchaient pas leurs mots en conférence de presse. Ainsi, ‘Rafa’ prévenant le tournoi : “ Si les choses continuent comme ça, ce sera triste. Mais l’an prochain, il y aura un tournoi en moins dans mon calendrier.”. Du côté de Djokovic, l’écho était le même : "Je ne serai pas là en 2013 s’il y a encore cette terre battue. Le test a échoué.” Djokovic et Nadal éliminés, Federer avait, de son côté, parfaitement saisi sa chance. Se concentrant sur son tennis, le Suisse s’adaptait parfaitement à la surface pour s’imposer. Après un premier match très difficile face à Milos Raonic (victoire 4-6, 7-5, 7-6), Roger déroulait son tennis pour rejoindre la finale. Disposant coup sur coup de Gasquet (6-3, 6-2), de Ferrer (6-4, 6-4) et de Tipsarevic (6-2, 6-3), il rejoignait sans encombre la finale. Opposé à un Tomas Berdych très en confiance (le Tchèque n’ayant pas perdu un set du tournoi), l'irrésistible Suisse allait finalement s’en sortir après plus de 2h30 d’un combat très accroché (3-6, 7-5, 7-5). Questionné sur cette étrange surface, le champion se contentait de déclarer : "C’était dur de bien bouger sur cette surface, mais il faut s’adapter pour essayer d’en tirer le meilleur parti." Suite au tournoi, l’étau se resserrait autour de Tiriac. Avec les menaces de boycott de Djokovic et de Nadal, l’ATP avait les mains liées. Finalement, l’instance suprême du tennis a pris la décision d’interdire la terre battue bleue dès l’année suivante : “Quelle que soit la couleur, nous devons d’abord nous assurer que les courts sont sans risque et justes pour les joueurs.”. Ainsi, Madrid rentrait finalement dans le rang et, comme par magie, Nadal s’imposait dès l'année suivante.
Nadal ne ferme pas la porte à Paris : “S’il y a une infime possibilité de gagner, je veux y aller, je veux essayer” C’est la grande question du moment : Rafael Nadal jouera-t-il une dernière fois à Roland-Garros ? Malmené par un physique qui n’en fait qu’à sa tête, le Majorquin n’a pas beaucoup joué cette saison (11 matchs, pour 7 victoires et 4 défaites). Si le choix n’est pas encore fait, l'Espagnol a confirmé qu’il était plus proche d’une participation que d’un retrait du tableau. Après trois tournois joués sur terre battue, Nadal est encore assez loin de son meilleur niveau. Très moyen à Barcelone (1 victoire, 1 défaite), il a retrouvé des couleurs à Madrid (3 victoires, 1 défaite) avant de réaliser des performances bien moins convaincantes à Rome (1 victoire, 1 défaite). S’il n’évolue toujours pas à son meilleur niveau, l’intensité physique que l’Espagnol est capable de produire semble augmenter, surtout à l’entraînement. Désormais, l’heure est venue pour le taureau de Manacor de reproduire ce type de performance en match. Dans un entretien réalisé avec nos confrères de Francetv, ‘Rafa’ croit en ses chances de participation mais prévient qu’il ne veut jouer que s’il se sent capable de jouer à 100% : “Je ne veux pas entrer sur le court en sachant que je n’ai aucune option. S’il y a une infime possibilité de gagner, je veux le tenter, je veux essayer. Mais s’il n'y a vraiment aucune chance, non, je ne préfère pas. [...] Si je ne peux pas jouer, ce sera très dur, c’est certain. Mais personnellement, avec toutes les émotions que j’ai vécues là-bas, je crois que ce serait encore plus dur pour moi de jouer sans être compétitif. Je ne veux pas me sentir à Roland-Garros comme je me suis senti à Madrid ou à Barcelone, sans pouvoir me battre réellement.” Interrogé sur ce qu’il attendait par “être compétitif”, il explique : “Je crois qu’être compétitif pour Roland‐Garros, c’est d’aller jouer le tournoi en étant à 100% et si à 100% cela n’est pas suffisant pour gagner un seul match, alors il faudra l’accepter. Mais je ne me vois pas entrer sur le court en sachant que je n’ai aucune option. S’il y a 0,01 possibilité, je veux le tenter, je veux essayer. Mais s’il n’y a vraiment aucune chance, no, je préfère rester avec mes souvenirs ” L’équation est donc simple pour le Majorquin : soit il se sentira en capacité de performer et il jouera soit il ne jouera pas. Ainsi, s’il joue on peut s’attendre à un niveau de jeu assez relevé. Puisqu’il ne sera pas tête de série, sa présence pourrait nous réserver quelques matchs de folie, en première semaine.
Sur un nuage, Muller renverse Rublev à Rome ! Celle-là, personne ne l’avait vu venir. Alexandre Muller, 109e joueur mondial, a fait tomber Andrey Rublev, 6e mondial (3-6, 6-3, 6-2 en 1h48). Issu des qualifications, le joueur de 27 ans a délivré le match parfait (27 coups gagnants, 6 aces, 6 fautes directes) pour éliminer un adversaire, pourtant très en confiance. Muller qui connaît une évolution très progressive depuis le début de sa carrière est peut-être en train de passer un cap. Jusqu’ici très en dessous lors de ses matchs avec les membres du top 10, le droitier s’est mis à y croire. Comme il l’annonçait avant son match, il est entré sur le terrain pour gagner : “Avant quand je rentrais sur le terrain contre de très bons joueurs, j’espérais juste ne pas prendre une bonne fessée. Maintenant, je rentre sur du 50/50 en me disant que c’est un match de tennis que je peux gagner comme perdre.” (propos relayés par L’Equipe). Passant parfaitement des paroles aux actes, le Français rejoint donc les huitièmes de finale à Rome où il affrontera le vainqueur du match entre Stefano Napolitano (125e, invité par le tournoi) et Nicolas Jarry (24e mondial).
Malgré les galères Cilic ne perd pas espoir : “Mon désir de rejouer au plus haut niveau ne s’est pas estompé” Quelle ténacité ! Marin Cilic, gravement blessé au genou, n’a plus gagné un match depuis janvier 2023. Après s’être fait opérer une première fois, courant 2023, l’ex 3e mondial est repassé sur la table d’opération. Enchaînant quelques matchs intéressants mais perdants en début de saison 2024 (4 défaites), il s’est finalement rendu à l’évidence : une seconde opération était nécessaire. Opéré ce vendredi, c’est tout un processus de remise à niveau et de rééducation qui attend maintenant le vainqueur de l’US Open 2014. Bien qu’empêtré dans de sérieux soucis physiques, le Croate d’1m98, connu pour son service de mutant et ses frappes sèches de coup droit, ne semble pas décidé à lâcher l’affaire. Ainsi, alors qu’il libère une place pour les Internationaux de France, où il avait prévu d’utiliser son classement protégé, il s’est expliqué sur les réseaux sociaux : “J'ai pris la décision de subir une nouvelle opération du genou, après mûre réflexion et de nombreux conseils utiles de médecins experts. Cela m'a semblé être la meilleure option pour aller de l'avant et parvenir à un rétablissement complet. Mon désir de rejouer au plus haut niveau ne s'est pas estompé, au contraire, il est plus fort que jamais, et j'ai bon espoir que cette opération supplémentaire m'aidera à me rapprocher de mon retour sur le court.”
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