Djokovic Federer - Dubai 2014

2 4 6 00 Podoroska N 3 6 2 00 Todoni A 6 15 Martic P 4 40 Sherif M 0 6 6 00 Ritschard A 3 7 3 00 Choinski J 4 6 00 Trotter J 6 2 00 Wong C 1 00 Teichmann J 6 00 Saito S 1 3 30 Mateas M 0 6 00 Branstine C 3 7 30 Collarini A 0 5 30 Villanueva G Կրկ 9 A.Zverev at 15:00 C.Alcaraz

Dubaï 2014 - 1/2 եզրափակիչ

Finished - 01:50

Djokovic, Novak [1]

Federer, Roger [4]

Tendance des pronostics

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Swiatek : "Pas si facile de gérer la pression" Toute numéro 1 mondiale qu’elle est, Iga Swiatek n’est pas pour autant épargnée par la pression des grands événements. C’est peut-être même le contraire. Le statut de nouvelle Reine de Roland-Garros de la Polonaise lui impose presque de remporter le tournoi pour ne pas devoir faire face à une grosse déception, la sienne et celle de tous ses fans. Le soulagement ressenti une fois le devoir accompli est donc libérateur. Mais pour y parvenir, il faut d’abord être capable de gérer ces attentes immenses. Iga Swiatek : "Ça n’a pas été si facile de gérer la pression. J’étais tendue, donc je suis juste contente d’avoir réussi à me concentrer sur mon jeu. Je pense que mon tennis était au rendez-vous, ça m’a donné beaucoup de confiance. Je suis vraiment fière d’avoir gagné un autre titre ici. Nous sommes toutes un peu nerveuses dans ces circonstances, c’est normal, car ce sont de grands matchs. Même si je suis assez bonne pour me focaliser (sur mon tennis), bien que parfois ça ne soit pas si simple. Mais j’y suis parvenue au final, donc je suis super contente."

Pas de fête pour Swiatek : "Je vais célébrer ça avec un bon repas" On pourrait imaginer que la journée d'Iga Swiatek va se conclure avec une folle soirée, voire une folle nuit, pour célébrer son 4e titre à Roland-Garros ce samedi. D'autres n'ont pas manqué l'occasion avant elle. Mais ça n'est pas la personnalité de la n°1 mondiale. Fidèle à elle même, la Polonaise n'a rien prévu de vraiment extraordinaire. Un peu par superstition et beaucoup parce que ça ne lui correspond pas. Elle se contentera d'un bon repas avec ses proches. Iga Swiatek : "Je n’ai rien prévu pour ce soir, je ne savais pas s’il y aurait quelque chose à célébrer. Je vais avoir des obligations pendant quelques heures (médias, etc). Mais je vais fêter ça en mangeant un bon repas."

Zverev / Alcaraz en finale de Roland-Garros : l’épisode 10 d’une rivalité récente mais intense Ce dimanche, pas avant 14h30, Roland-Garros va nous offrir sa dernière représentation. Pour clôturer en beauté cette édition passionnante, c’est à un duel très attendu et bien plus indécis que ce que l’on pourrait croire que nous allons assister. En effet, Alexander Zverev et Carlos Alcaraz vont se disputer le sacre parisien. Cette confrontation s’annonce d’ores et déjà passionnante et les balles risquent de fuser le court Philippe Chatrier. Alors que la rencontre approche à grands pas, l’heure est venue de revenir sur les principaux enjeux de cette finale de ce Roland-Garros 2024. - Un duel bien plus équilibré que ce que l’on pourrait croire Les deux hommes se connaissent déjà très bien. Même si ce n’est pas forcément évident, surtout au vu du jeune âge de l’Espagnol, mais ils se sont déjà mesurés l’un à l’autre à plusieurs reprises. Bien que leur premier duel ne date que de 2021, ils se sont pourtant déjà affrontés à 9 reprises pour un bilan de 5 victoires à 4 en la faveur de Zverev. Ainsi, cette finale sera leur 10e match, le 3e cette saison. Cela dit, chacun de ces matchs n’est pas forcément riche d’enseignement. En effet, lors de leurs deux premiers duels (à Acapulco et à Vienne en 2021), ‘Carlito’ avait à peine 18 ans. À l’époque, l’espoir de tout un peuple avait d’ailleurs été dominé dans les grandes largeurs à chaque fois (défaite 6-3, 6-1 au Mexique puis 6-3, 6-3 en Autriche). Depuis, le natif d’El Palmar a grandement confirmé le bien que l’on pensait de lui et les duels se sont grandement équilibrés. À tel point que le joueur de 21 ans va rentrer sur le court dimanche dans le costume de favori au titre. Cela s’explique notamment par quelques victoires très expéditives face à son rival allemand. On retiendra bien sûr sa victoire en quarts de finale d’Indian Wells en mars (6-3, 6-1), mais également ses succès à Madrid en 2022 (6-3, 6-1) et 2023 (6-1, 6-2). Pourtant, il serait malgré tout un peu osé d’en tirer des conclusions trop hâtives. Il serait même faux de penser que le numéro 4 mondial n’a pas les armes pour déstabiliser l’Espagnol. Lors de très grandes occasions, Zverev a très souvent gêné le joueur de 21 ans. L’Allemand est d’ailleurs devant dans les face-à-face en Grand Chelem (2-1). Bien qu’il se soit incliné assez largement à l’US Open 2023 (6-3, 6-2, 6-4), il a parfaitement muselé Alcaraz en Australie cette année (6-1, 6-3, 6-7, 6-4) et surtout à Roland-Garros, il y a deux ans (6-4, 6-4, 4-6, 7-6). Ainsi, sans trop rentrer dans le détail de leurs confrontations, il semble assez évident que ce duel ne sera facile ni pour l’un ni pour l’autre et surtout que cette finale pourrait bien s’étaler en longueur. On en frétille déjà ! - Un match qui risque de devenir un classique Ce ne sera certes pas forcément le match symbole de toute une génération. Même si cette confrontation n’a pas le même potentiel historique qu’un Alcaraz-Sinner, elle a toutes les chances de s’inscrire dans la durée. Alcaraz, 21 ans, a tout pour connaître les sommets du tennis pendant encore de longues années. De son côté, Zverev a beau avoir déjà 27 ans, il semble toutefois qu’il lui reste encore plusieurs années de très haut niveau à offrir. D’ailleurs, la carrière de ces deux champions possède quelques similitudes évidentes. L’un comme l’autre sont arrivés avec une précocité folle sur le circuit puisqu’ils étaient encore mineurs lorsqu’ils ont joué leur premier match professionnel. L’un comme l’autre ont également très vite été annoncés comme les futurs numéros 1 mondiaux de notre sport. Seule différence : à 21 ans, l’Espagnol a déjà un palmarès bien plus flatteur que celui de son adversaire de dimanche. En effet, en onze ans sur le circuit, Zverev n’a toujours pas réussi à obtenir le moindre sacre en Grand Chelem (malgré une finale jouée et perdue à l’US Open 2020 contre Dominic Thiem). Pour ‘Carlito’, l’histoire est bien plus rassurante puisqu’il compte déjà deux consécrations en Majeur (US Open 2022, Wimbledon 2023) et a même déjà occupé la première place du classement ATP (en 2022). Quoi qu’il en soit, les deux hommes et peut-être même un peu plus l’Allemand restent des modèles de régularité et de solidité. Il est très rare de voir l’Allemand perdre tôt dans un tournoi et le constat est à peu près le même pour Alcaraz (quand il s’aligne). Ainsi, on peut facilement penser que les deux athlètes risquent de jouer encore quelques jolis matchs. Interrogé sur le duel qui l’attend en finale, Zverev se sent prêt, mais sait que son adversaire le sera aussi : “Quand vous arrivez en finale d'un Grand Chelem, il n'y a pas de match facile ni d'adversaire facile. Si vous êtes en finale de Roland-Garros, c'est que vous méritez d'être là. Cela vaut pour Carlos aussi. Il a joué un super match aujourd'hui, et un super tournoi en général. Je m'attends à un match difficile.

Paolini très élogieuse : "Jamais joué une joueuse aussi forte que Swiatek" Jasmine Paolini a eu beau jouer son meilleur tennis, elle n’a pas pu faire grand-chose face à Iga Swiatek en finale de Roland-Garros ce samedi (6-2, 6-1). Comme toutes les adversaires de la Polonaise cette année à Paris, à l’exception de Naomi Osaka ou 2e tour (7-6, 1-6, 7-5), l’Italienne n’a pu que constater l’écart entre son propre niveau de jeu et celui de la n°1 mondiale. Jasmine Paolini : "Oui, j’ai fait un bon début de match. Mais elle (Swiatek) joue avec une intensité incroyable. Quand elle est ici (à Paris), elle frappe la balle avec tellement d'effets, elle se déplace si bien. Il faudrait lui demander, mais je pense que c’est sa surface favorite et son court favori. Donc c’était un gros challenge. Mais je n’ai pas de regret, c’est génial de jouer ces matchs-là. Ca peut m’aider à m’améliorer encore davantage. Il faut que je parle avec mon coach pour comprendre un peu mieux ce qui s’est passé, mais je pense que nous avons joué des points vraiment rapides avec un niveau de tennis incroyable. Je pense que je n’ai jamais joué une joueuse aussi forte qu’Iga. Elle (Swiatek) ne m’a pas laissé jouer mon jeu. J’étais un peu nerveuse, bien sûr, mais une fois sur le court je me sentais bien. C’est un challenge, mais j’espère que j’aurai d’autres chances de l’affronter dans l’avenir. J'essayerai d’améliorer un peu mon jeu pour rendre les choses un peu plus compliquées pour elle (rires)."

Battue, Paolini est une finaliste heureuse : “Merci beaucoup Paris !” Jasmine Paolini n’a pas pu aller au bout de son rêve à Roland-Garros. Malgré un tournoi magnifique où elle a enchaîné les très grosses performances, elle a fini par coincer, largement battue par l’indéboulonnable Iga Swiatek en finale ce samedi (6-2, 6-1). Malgré tout, la Transalpine peut sortir de son tournoi avec le sourire. Non seulement elle a vécu sa première finale en Grand Chelem, mais en plus, elle va atteindre la 7e place mondiale lundi. Lors de la cérémonie de remise des prix, Paolini a ainsi tenu à garder le sourire, remerciant son équipe pour le travail accompli : “Je veux aussi remercier mon équipe, ma famille, mes amis et tous ceux qui sont là et qui m’encouragent et qui croient en moi tous les jours, merci beaucoup ! Ça a été 15 jours vraiment très intenses et je suis vraiment heureuse et fière de moi et de mon équipe d’être arrivé jusque là. C’était dur aujourd’hui, mais je suis quand même fière de moi. Et ‘merci beaucoup, Paris !’. Vous m’avez soutenu et c’était incroyable, et merci à tous les Italiens qui sont venus me soutenir aussi. Merci beaucoup !” Enfin, l'Italienne a bien sûr tenu à rendre hommage à son bourreau du jour : “J’ai vraiment beaucoup aimé jouer sur ce court aujourd’hui et je dois vraiment féliciter Iga. Jouer contre toi ici est le plus grand défi que l’on peut avoir à relever dans ce sport. Bravo à ton équipe aussi, vous faites un travail incroyable. Tu es numéro une mondiale, plusieurs grands chelems déjà… Je ne sais pas. Juste, félicitations !”