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Jimmy Connors
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Ivan Lendl
 
Jimmy Connors
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178cm
79kg
Քաշ
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Աստիճան
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Past 6 months
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1 Սեպ 1992
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Vainqueur dans la douleur, Rublev a bien failli retomber dans ses travers : “Je méritais de perdre” Décidément, les semaines se suivent mais ne ressemblent pas pour Andrey Rublev. Malgré la victoire (4-6, 6-4, 7-5), le numéro 6 mondial n’a pas affiché un visage très resplendissant. Titré à Madrid la semaine passée en faisant preuve d’une fraîcheur mentale qu’on ne lui connaissait pas, le Russe a réactivé les sons et lumières à Rome. En effet, s' il s’était montré très calme en Espagne, souffrant de divers épisodes maladifs tout au long du tournoi, le Russe s’est montré très nerveux lors de son entrée en lice en Italie. Opposé à Marcos Giron (49e), le natif de Moscou à céder à ses vieilles habitudes. Commettant beaucoup de fautes et se montrant très nerveux, Rublev a bien failli prendre la porte. Dans un match où les deux hommes ont fait les coups gagnants et les fautes, il a concédé le premier acte avant de voir l’Américain servir pour le match au troisième set. Profitant avant tout des erreurs de son adversaire sur la fin du match, Rublev s’en est sorti miraculeusement. Conscient d’avoir joué un match très moyen, tant sur le plan tennistique (26 coups gagnants, 32 fautes directes) que sur le plan mental, le champion de Madrid s’est montré très sévère avec lui-même : “Sur le court, j'étais très en colère d’avoir laissé sortir mes émotions. J'ai raté beaucoup d'occasions à cause de ça. Je méritais de perdre, mais toute victoire est bonne à prendre.” Pour une place en huitième de finale, il affrontera le Français Alexandre Muller (109e mondial, issu des qualifications).
Epatant tombeur de Djokovic, Tabilo n’en revient pas : “J’essaye de me réveiller là tout de suite” C’est la sensation du tournoi : Alejandro Tabilo a largement dominé Novak Djokovic à Rome (6-2, 6-3). Face à un numéro 1 mondial étrangement absent, le Chilien a délivré un véritable récital pour s’imposer en à peine plus d’une heure. Interrogé sur ce magnifique succès à l’issue de la rencontre, Tabilo osait à peine y croire : “C’est incroyable. Je suis arrivé sur le court en regardant partout autour. J’ai juste essayé de m’imprégner de tout, de tout digérer. J’essaye de me réveiller là tout de suite.” Interrogé en conférence de presse, le 32e joueur mondial est revenu un peu plus en détail sur cette belle victoire. Ainsi, il explique que ce qui a été lé plus déterminant dans son succès, c’est justement qu’il n’y a jamais complètement cru : “Honnêtement, à aucun moment je ne me suis dit : ‘Ok, je peux gagner’. Après le premier set, j’étais très heureux. Je jouais un tennis incroyable. Je voulais juste maintenir ce niveau. Avec Novak, c’est toujours très difficile sur le plan physique. Je savais parfaitement qu’il pouvait y avoir un troisième set à tout moment. Je ne sais pas ce qui s’est passé. Je pense que j’ai commencé à y croire petit à petit quand j’étais à 6–2, 4–3, en essayant de conclure le match. Tout au long du match, j’ai essayé de prendre les choses point par point, sans penser au score. Chaque point était comme le début du match. Je pense que cela m’a beaucoup aidé.”
Dimitrov, trop costaud pour Atmane à Rome : “Je suis content d’avoir pris cette leçon” Bien qu’auteur d’un très bon tournoi romain, Terence Atmane n’a pas réussi à trouver la solution face à Grigor Dimitrov, 10e mondial. Jusqu’ici peu à l’aise sur ocre, le Français de 22 ans s’est rassuré. S’extirpant des qualifications, il a même passé deux tours dans le tableau final avant de caler face à l’un des hommes en forme de la saison.  Malgré une belle résistance, le gaucher a cruellement manqué d’expérience face à un Bulgare accélérant quand il le fallait. Sans jouer son meilleur tennis (19 coups gagnants, 18 fautes directes), Dimitrov a parfaitement géré les moments importants pour s’imposer sans perdre une manche (7-6, 6-3 en 1h42).  Interrogé en conférence de presse, le Français, qui se rapproche encore du top 100 mondial puisqu’il devrait pointer à la 119e place lundi, a préféré voir le positif : "Ça fait partie du chemin que je dois suivre pour arriver à ce niveau là. La petite différence, c'est la petite balle que moi je vais rater, et pas lui dans les moments importants. Ou des moments où il va y aller avec plus de conviction. Ça se joue à des détails à ce moment-là, c'est bien que je le voie de mes propres yeux. Je suis content d'avoir pris cette 'leçon'. [...] Cette semaine a été un déclic pour moi sur terre. Ça me montre que je peux faire de très bons résultats. Je vais avoir sur cette surface moins d'appréhension et plus de confiance à l'avenir.” (propos recueillis en conférence de presse).
Garcia coince face à Collins à Rome Ce dimanche, il y avait une classe d’écart entre Danielle Collins et Caroline Garcia. Largement dominée par une adversaire qui n’a jamais aussi bien qu’en 2024, la numéro 1 française a pris la porte après la porte après seulement 1h21 de match (6-3, 6-3). Inférieure dans tous les domaines, ‘Caro’ s’arrête donc dès le troisième tour à Rome et devra faire beaucoup mieux si elle veut faire rêver le public parisien, dans deux semaines à Roland-Garros. Collins, de son côté, continue sa merveilleuse série de victoires puisqu’elle affiche désormais un bilan de 17 victoires en 18 matchs depuis mars (sa seule défaite étant intervenue face à Sabalenka à Madrid). Au prochain tour, l’Américaine affrontera Irina-Camelia Begu (161e) qui poursuit son retour à la compétition.
Questionné sur sa défaite, Djokovic évoque le cas de la gourde : “Je dois passer des examens médicaux pour voir ce qui se passe” Novak Djokovic, l’un, si ce n’est le plus grand joueur de l’histoire du tennis, a été très sèchement battu ce dimanche. Après un excellent premier match joué vendredi (victoire 6-3, 6-1 face à Moutet), le Serbe est complètement passé à côté de son duel du troisième tour. Face au vainqueur du Challenger d’Aix en Provence, Alejandro Tabilo (32e mondial), ‘Nole’ a joué l’un de ses plus mauvais matchs en carrière, s’inclinant en à peine 1h06 de jeu (6-2, 6-3). Alors qu’il réalise, jusqu’à présent, l’une de ses pires saisons en carrière et qu’il arrivera à Paris sans titre, Djokovic est revenu sur cette énorme déconvenue en conférence de presse. Après avoir volontiers reconnu qu’il avait réalisé un très mauvais match, le Serbe a été questionné sur l’impact qu’avait pu avoir l’incident de vendredi. Pour rappel, suite à sa victoire face à Corentin Moutet, le Serbe s’était arrêté pour signer quelques autographes. C’est alors que la gourde de l’un des spectateurs lui est malencontreusement tombée sur le crâne. Le numéro 1 mondial, qui s’était écroulé au moment du choc, n’a pas écarté l’hypothèse d’une commotion pour expliquer sa contre-performance du jour : “Je ne sais pas, pour être honnête. Je dois vérifier cela. C'est possible. Je n'en sais rien. Je dois passer des examens médicaux pour voir ce qui se passe. L'entraînement de samedi était différent. Je me suis entraîné plus tranquillement. Je n'ai rien senti de particulier, mais je n'ai pas non plus ressenti la même chose... Aujourd'hui, sous un stress important, c'était assez compliqué, non pas en termes de douleur, mais en termes d'équilibre. Il n'y avait pas de coordination. J'étais un joueur complètement différent de ce que j'étais il y a deux jours.” Revenant plus en détails sur l’accident de vendredi, il a expliqué : “C'était un accident, le gars s'est penché par-dessus la barrière, la bouteille est tombée de son sac à dos et a atterri directement sur ma tête. C'était évidemment inattendu. Je ne regardais même pas en l'air. J'ai ressenti un coup très fort à la tête. Cela m'a beaucoup affecté. [...] Ensuite, j'ai reçu des soins médicaux. Pendant une demi-heure, une heure, j'ai eu des nausées, des vertiges, du sang, beaucoup de choses différentes. J'ai réussi à dormir. J'ai eu des maux de tête. Le lendemain, tout allait bien, alors je me suis dit que c'était bon. Peut-être que ça va. Peut-être pas. [...] Comme je vous l'ai dit, je n'ai fait aucun scanner ni aucun test. En ce moment, je pense que je devrais en faire, alors... Je vais le faire et on verra. Voyons ce qui se passe.”
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